Agréable promenade ce matin dans une douceur printanière et quelques brumes.
Un grand calme qui poussait à la méditation profonde loin de l'agitation au ras des paquerettes des candidats.
Car les champions des médias ne brillent pas par le niveau de leurs expressions.
Leurs invectives évoquent plus le défouloir d'une cour de récréation que les cours de philo que j'ai connus dans mon lycée de la banlieue rouge, où des enfants d'ouvriers ou d'employés cherchaient comment sortir de l'aliénation de leurs parents par la force de la pensée.
Une bonne promenade en forêt accompagnée de quelques rêveries salutaires les mettraient certainement de nouveau sur les traces du sens profond du contrat social qui doit lier le peuple et ses représentants.
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